Mayerline, my fit
La coupe parfaite pour tous les corps

En matière de mode, quand on a passé la cinquantaine, en plus de matières de qualité, de couleurs pleines de vie et d’imprimés magnifiques, on désire surtout des coupes parfaites. Quels que soient notre taille, notre morphologie ou notre poids.

A l'occasion de la Journée Internationale des Femmes Mayerline met cinq femmes inspirantes à l’honneur dans sa toute nouvelle campagne ‘Embrace Age’. Chacune d’elles embrasse son âge, mais avoue que ce n’est pas toujours facile. Parlons de la discrimination liée à l’âge, au travail, dans les médias et dans la mode.
Nous sommes avec vous!

Carry Mortelmans

Comment vivez-vous le fait de vieillir ? Cela vous pose parfois des difficultés?
« L’âge, c’est juste un chiffre. Me sentir bien dans ma peau et faire ce que j’aime est bien plus important pour moi. En prenant de l’âge, plein de choses changent, y compris sur le plan physique. Mais je peux relativiser tout cela. En ce moment, je vis ma troisième jeunesse, et je peux vous assurer qu’elle n’est en rien moins intense que ma première jeunesse. »

Vivre pleinement en suivant mon instinct, c’est vraiment ma devise.

Pensez-vous que notre société ‘déclasse’ trop vite les femmes de + de 50 ans?
« Croyez-le ou pas : nous vivons toujours dans un monde d’hommes. Et ce n’est pas justifié. Les femmes sont tout aussi qualifiées que les hommes à passer à la télé ou à occuper des postes importants. Et pourtant, cela reste un tabou et un combat que nous devons continuer à mener. J’espère qu’un jour nous vivrons dans un monde où les femmes ne seront plus jugées sur leur apparence, mais qu’on reconnaisse leur force. Entre-temps, on voit tout de même plus souvent des femmes mûres dans les publicités, et l’image générale de la femme évolue tout doucement dans la bonne direction. Mais nous sommes encore loin du compte et je crains que nous allons encore devoir attendre un bon moment avant l’égalité et l’inclusion complètes. »

Le monde a donc besoin de plus de modèles féminins d’un certain âge?
« Absolument. Les femmes de cinquante ans et plus pensent souvent qu’elles ne comptent plus dans la société. Je leur dis de ne surtout pas perdre courage ! Ne baissez pas la tête, vous méritez d’être vues et entendues. Ce n’est pas parce qu’on a cinquante ans qu’on n’a plus d’importance ! Ce n’est qu’un début. Voyez Iris Apfel, ma source d’inspiration préférée. Avec ses couleurs et son tempérament, elle sort complètement du lot. Je prends du plaisir à l’observer. »

Ce n’est pas parce qu’on a cinquante ans qu’on ne compte plus !

Osez-vous toujours vous habiller comme vous le voulez?
« Mon style est le même qu’avant. Si les gens me disent: ‘tu ne peux pas porter ça, tu as passé l’âge’, je me ferai un plaisir de le porter, justement. Jusqu’à il y a trois ans, je portais encore des minijupes. Parce que je trouve que j’ai de jolies jambes. Mais vous ne me verrez plus en ‘crop top’, ça, ce serait exagéré. (Rires) Cela ne convient plus à ma morphologie. Je n’ai jamais suivi les tendances. Je porte les vêtements qui s’accordent avec ma personnalité et dans lesquels je me sens bien. Jamais vous me verrez mettre une tenue parce que ‘tout le monde’ porte ça. Je vois beaucoup de femmes de mon âge qui s’habillent de manière vieux-jeu et sombre. Je trouve cela bien dommage. On n’est pas obligée de s’habiller en ‘petite vieille’ parce qu’on a septante ans. »

On n’est pas obligée de s’habiller en ‘petite vieille’ à septante ans.

Vos attentes par rapport à vos vêtements ont-elles changé?
« Au fil des ans, une bonne coupe et la qualité sont devenues de plus en plus importantes. Et Mayerline est connu pour cela, justement. J’aime porter mes vêtements très longtemps, c’est pourquoi je préfère toujours la qualité à la quantité. Et je choisirai toujours des pièces qui collent à ma personnalité. On me fait souvent des compliments quand je suis habillée en Mayerline. »

Christel Van Dyck

Christel, vous travaillez dans le monde des médias. Les femmes de + de 50 ans sont-elles rendues invisibles?
« Malheureusement, oui. Les femmes de plus de cinquante ans ne sont pour ainsi dire pas représentées dans les médias. Et pourtant, nous sommes nombreuses et je pense que nous aimerions nous voir représentées par des modèles de notre âge. Les médias ont une responsabilité importante en la matière. En montrant et en donnant la parole aux plus de cinquante ans plus souvent, ils peuvent donner le signal que socialement, nous avons toute notre importance. La diversité est une notion importante. Malheureusement, elle ne semble pas valoir quand il s’agit de l’âge, et en particulier de l’âge des femmes. »

Vous considérez-vous comme un modèle de rôle?
« Ce n’est pas mon ambition, mais si c’est le cas, ça me fait plaisir. Si je peux inspirer les gens en étant moi-même et en faisant ce que je fais… C’est un sentiment très agréable. »

Comment accueillez-vous votre âge, en tant que femme?
« Tout le monde désire vivre plus longtemps, mais personne ne veut être vieux, ou pire encore… avoir l’air vieux. Embrasser le changement et s’adapter aux nouvelles phases de vie demande du temps, mais tôt ou tard, il faut en passer par là. L’acceptation est la seule voie possible, de toute façon. S’en faire parce que son corps a changé n’a absolument aucun sens ! Je ne rentre plus dans une taille 36 ou 38, et ma taille n’est plus ce qu’elle était. Et ne parlons pas de mes seins, il me faut un bonnet de plus qu’avant. Mais ce n’est pas un problème, ça fait partie de l’expérience d’avancer en âge. Aujourd’hui, je me sens bien dans ma peau et j’aime la vie ! »

Aujourd’hui, je me sens bien dans ma peau et j’aime la vie!

Vous le disiez, votre corps a changé. Comment cela a-t-il influencé votre style?
« J’aime la mode et j’aime être bien habillée. C’est pourquoi je porte des vêtements dans lesquels je me sens belle, parce que c’est ce qui fait qu’on rayonne ! La qualité est importante aussi. Les pièces Mayerline ont toujours des finitions impeccables, leur savoir-faire est perceptible. »

Que diriez-vous aux femmes qui ont du mal avec leur âge?
« Entourez-vous de personnes qui vous aident à vous sentir bien dans votre peau. Si les autres vous acceptent comme vous êtes, ce sera plus facile pour vous de vous accepter. Et donnez-vous le temps de trouver cette voie de l’acceptation. Ce n’est pas facile, mais on y arrive. Un pas dans la bonne direction est de ressentir de la gratitude pour tout ce que vous avez : un chouette boulot, de bons amis, une famille,… »

Il y a tant de bons aspects à cette phase de votre vie ! Savourez-les !

Valerie Kinzounza

Comment avez-vous appris à apprécier votre âge?
« En faisant moins attention au chiffre, et plus à mon évolution en tant que femme. La jeune Valérie était timide, pas sûre d’elle, complexée. Jusqu’à il y a un an et demi, je lissais toujours mes cheveux, par exemple. Aujourd’hui, j’assume ma crinière bouclée. Je voulais montrer l’exemple à mes filles, leur faire passer le message que c’est ok d’être soi-même. La différence par rapport à avant ? La Valérie d’aujourd’hui est une femme solide de 48 ans, qui a confiance en elle. Je me dis que je peux être fière du chemin parcouru. »

Le fait de travailler dans les médias a-t-il influencé votre confiance en vous?
« Travailler dans les médias m’a souvent poussée à sortir de ma zone de confort. Parler devant une salle de cent personnes, par exemple, je ne me voyais pas faire ça. Mais mon job m’oblige parfois à faire ce genre de choses. Ces différentes expériences m’ont appris à croire en moi, aussi bien au niveau professionnel que dans ma vie privée. Quand en plus, on travaille pour la télé, on est constamment confrontée à la critique et au regard des autres. Au fur et à mesure des expériences, j’ai appris à gérer les réactions négatives, en développant un regard plus positif sur moi et en me préoccupant moins de ce que les gens pensent de moi. »

En développant un regard positif sur moi, j’ai appris au fur et à mesure à gérer les réactions négatives.

Les médias sont souvent durs avec les femmes de + de 50 ans. Est-ce aussi votre expérience?
« Je n’ai pas encore 50 ans, mais jusqu’à présent, je n’ai encore jamais eu de réactions négatives à propos de mon âge. Mais on me dit souvent que j’ai l’air plus jeune, c’est peut-être pour ça ! (Rires) Malheureusement, il est tout à fait vrai que les femmes de + de 50 ans sont plus vite écartées dans ce secteur, malgré toute leur expérience. Je préfèrerais évidemment un monde, médiatique ou pas, qui valorise aussi les femmes mûres, d’autant plus qu’elles sont souvent au top de leur féminité ! Elles ont de l’expérience, et plein de choses à partager, mais c’est trop peu mis en valeur aujourd’hui. »

Les femmes plus âgées ont tellement d’expérience de vie et de sagesse qu’elles pourraient partager.

De quelle manière la marque Mayerline redéfinit-elle la mode pour les femmes de + de 50 ans, selon vous?
« Mayerline produit des vêtements pour des femmes qui ont de l’expérience et du style. Ils créent des pièces affirmées, aux couleurs et imprimés étonnants, qui peuvent booster un look. À vingt ans, je n’aurais jamais osé porter de pièces fortes, mais aujourd’hui, ça ne me dérange pas qu’on me remarque. Parce que je sais qui je suis et ce que je veux. Et puis chez Mayerline, ils font attention à la coupe. La marque a bien compris qu’un modèle ne convient pas à toutes les morphologies. Après toutes ces années, je connais mon corps par cœur et je sais ce qui me va – ou pas. Voilà encore un truc qui vient avec l’âge. » (Rires)

Je suis fière de celle que je suis aujourd’hui et je veux pouvoir afficher littéralement ma personnalité.

Greet Rouffaer

Quelle importance accordez-vous à l’existence d’une journée internationale consacrée aux femmes?
« La Journée Internationale des Femmes est toujours pertinente aujourd’hui. Nous, les femmes, méritons de nous mettre en avant. En plus, nous sommes souvent des piliers dans la vie de ceux qui nous entourent. Derrière chaque femme forte il y a un homme fort, et l’inverse est vrai aussi. En tant que femme, il est très important de prendre soin des autres, mais avant tout, il faut prendre soin de soi-même. »

Nous, les femmes, méritons de nous mettre en avant.

Les femmes ont-elles une date de péremption, comme on l’entend dire parfois dans la société?
« De nombreuses femmes ont tendance à commencer à se cacher peu à peu au fur et à mesure qu’elles prennent de l’âge. Je me demande toujours: mais pourquoi ? Vieillir, c’est apprendre à accepter que le corps change et que les rides apparaissent. Je suis passée par là, moi aussi. Ce n’est pas toujours facile de l’accepter et c’est normal. Que vous ayez élevé des enfants, que vous ayez eu une belle carrière, ou les deux : les femmes de plus de cinquante ans ont de l’expérience et c’est précieux. J’aimerais bien voir plus de femmes dans les médias qui ne gomment pas leurs rides. Marre des filtres ! La vie griffe nos âmes et ça se voit. La joie ou les peines qu’une personne a connues, se marquent toujours sur son visage. La vie nous marque en tant qu’êtres humains, et c’est justement ce qui fait notre beauté. Pourquoi vouloir cacher ça? »

La vie griffe nos âmes, ça se voit sur nos visages, pourquoi vouloir le cacher?

Comment embrassez-vous votre âge, à 64 ans?
« Je me sens beaucoup mieux qu’avant. Vieillir n’est pas facile, mais on ne peut pas empêcher les rides d’apparaître, ni le corps de changer. Quand j’ai perdu plusieurs de mes amies encore jeunes, ma vie a été mise en perspective. Es-tu en bonne santé ? Check ! Es-tu heureuse ? Check ! As-tu des rides ? Check ! Et alors ? Le changement fait partie de la vie. Et chaque jour que je reçois en plus est comme un cadeau. Mes amies auraient bien voulu vivre un peu plus longtemps, et de préférence avec plein de rides. Et un verre de bulles pour célébrer la vie. »

Quelle influence a votre âge sur votre façon de vous habiller? Osez-vous toujours porter ce que vous voulez?
« Plus de minijupes pour moi! (Rires) Sinon, je porte ce que je veux, quand je veux. Ce n’est pas parce qu’on a un certain âge qu’on doit tout à coup commencer à s’habiller autrement. Faites et portez ce qui vous chante, car la vie est bien trop courte pour ne pas en profiter. J’adore essayer des couleurs vives et tester des nouvelles coupes de vêtements. C’est ce que j’apprécie chez Mayerline: on peut associer les pièces entre elles à cœur joie. Et leurs coupes sont impeccables, elles me vont comme un gant. Je ne dois jamais faire retoucher les vêtements. Non seulement c’est confortable et pratique, cela me permet aussi de rester stylée. »

Êtes-vous en bonne santé? Top ! Êtes-vous heureuse ? Top ! Avez-vous des rides ? Et alors ?

Micheline Calomne

Micheline, vous comptez 75 printemps. Vieillir, pour vous, est-ce un cadeau ou une malédiction?
« Je pense que l’image que l’on a de soi détermine si on se sent belle. Je choisis de me sentir bien et d’avoir une philosophie de vie positive. Je suis qui je suis et on n’a qu’à m’accepter ainsi. Je me préoccupe très peu de l’avis des autres. Bien sûr, j’ai aussi mes moments plus difficiles. Prendre ma pension n’a pas été évident pour moi. J’ai remarqué combien, tout à coup, on m’a accordé moins d’attention. Et quand mon mari est décédé ; là aussi, j’ai dû trouver un nouvel équilibre. Il y a eu beaucoup de changements en peu de temps. Ce n’était pas facile, mais je suis consciente que ce sont des choses qui font partie du fait de vieillir. Finalement, tout s’est bien passé. (Rires) Je le dois en grande partie à mon mode de vie actif et positif. C’est ce qui garde mon corps jeune, et mon esprit aussi. »

Rester à ne rien faire dans un fauteuil est très peu pour moi !

Est-il vrai que les femmes ont toujours une ‘date de péremption’?
« Il est indéniable que les femmes de mon âge sont mises de côté. Quand je fais du shopping, j’ai le sentiment que les rayons des magasins sont remplis de vêtements pour les jeunes, et qu’on oublie les femmes de plus de cinquante ans. »

Outre Mayerline, je connais très peu de marques de mode qui s’efforcent de créer des vêtements pour les femmes pus âgées.

De quelle manière la marque Mayerline redéfinit-elle la mode pour les femmes de + de 50 ans, selon vous?
« Chez d’autres marques, il m’arrive souvent de penser: ‘aïe, je n’aurais pas dû acheter ça’, parce que je n’ai pas été bien conseillée. C’est l’un des grands atouts de Mayerline. Car nous, les femmes d’âge mûr, comme toutes les autres, voulons être bien habillées. Et chez Mayerline, trouver des vêtements à la mode et confortables n’est pas un problème. Et leurs tailles et leurs coupes sont toujours correctes et cohérentes. Leurs pièces me vont comme un gant, je ne dois jamais les faire retoucher. Dans d’autres marques, je dois souvent chercher pour trouver la bonne taille ou longueur. Classique ou très coloré, petites ou grandes tailles : chez Mayerline, il y a de tout. Pour moi, c’est une preuve qu’ils sont vraiment inclusifs. »

Classique ou très coloré, petites ou grandes tailles: chez Mayerline, il y a de tout. La preuve qu’ils sont vraiment inclusifs.

Quels conseils donneriez-vous aux femmes qui ont du mal avec leur âge?
« Ayez toujours un but, car c’est ce qui donne du sens à l’existence. Que ce soient de petits ou grands objectifs, peu importe. Occupez-vous et surtout, profitez des petites choses, voilà mon message. J’ai toujours un voyage en vue, dont je me réjouis longtemps à l’avance, ou bien je planifie une visite au musée. C’est important de continuer à se motiver à sortir de chez soi, c’est indispensable pour garder un esprit positif. »